Le fantastique est partout surtout là où on ne s’y attend pas. Suivez et participez à notre roman fantastique et soyez prêts à tout...
NON, NON, NON, ce n’était pas possible !
Les deux pic de glace n’étaient pas devant, moi, seul le pan de la montagne rocheuse.
Avais-je rêvé ou était-ce pour me donner une contenance ? Car même si les pics n’étaient pas réels, de nouveaux Krokens me pourchassaient et ce n’était pas un mirage !
La montagne charnue se refermait sur moi, comme un étau.
« COURS ! »
Les conseils d’Undril étaient justes mais impossibles à suivre !
A ma droite des pieux acérés sortaient de la montagne. A ma gauche la pente (...)
Je courrais toujours vers les deux pics de glace mais je n’avais aucune idée pour tuer les Krokëns. Ils étaient bien plus rapides que moi. Un des Krokëns était déjà à côté de moi, je pris mon épée et je la lui plantai dans le coeur. Curieusement, cela sembla décourager tous les autres !
J’étais enfin arrivé aux pics mais pas dans de bonnes conditions : la boussole qui était autour de mon cou se mit à briller, je ne comprenais pas ce qui se passait. Je regardai alors derrière moi et je vis que les Krokëns (...)
Je me réveillai au petit matin, m’habillai et pris la direction des pics de glace.
« Oh que le monde est cruel, je vais devoir trouver ces deux pics de glaces sur ces vastes étendu de montagne,sans aide ! me plaignis-je.
_... »
Je marchais pendant deux heures environ pour revenir à mon point de départ, je tournais en rond !
« Tu n’aurais pas oublié la boussole ?" me soufla Undril. »
Je la sortis de mon sac et me mis en route, le temps passait et je ne voyait toujours rien venir lorsqu’une odeur (...)
En sortant du labyrinthe, j’étais arrivé exactement au même endroit que douze heures plus tôt mais personne pour m’accueillir en digne vainqueur. Quoiqu’il en soit, j’avais gagné ma liberté, mais je devais retrouver les pierres !
Je marchais sur le pond étroit au-dessus du brasier ardent..., personne ! Je glissais à pas feutrés dans le couloir de la pièce où j’avais été retenu prisonnier..., personne.
Soudain des cris de joie et d’allégresse se firent entendre. Ils résonnaient sur les parois rocheuses de (...)
Je me mis donc en route, j’avançai d’un pas, entendis un déclic, fis une roulade sur le côté en lâchant la hache et déclenchai au passage trois mécanismes. J’avançai à nouveau d’un pas...Il n’y avait plus de sol ! Mon principal appui tombait dans un gouffre, il était trop tard pour éviter de tomber.
Je réussi néanmoins à me rattraper sur le bord par pur réflexe. Il fallait que j’utilise mon intuition et mes réflexes aussi. Je réussis à me hisser grâce à la force de mes bras, au bout d’une demi-heure, j’avais (...)
Je compressai la blessure pour éviter de perdre trop de sang, puis je m’allongeai et entendis un objet métallique être éjecté d’un mur pour atterrir lourdement sur le sol. Je rampai jusqu’à lui, il était très lourd et froid. Je le tâtai, c’était une hache ! En m’allongeant, j’avais déclenché un piège mortel que je n’aurai évité debout... et qui m’aurait tué. Soudainement, une voix se fit entendre :
« Ewil...Ewil, est-ce que tu m’entends !
_UNDRIL ! C’est bien toi ! Tu sais où sont passé les pierres ? Tu sais (...)
Je ne pus m’endormir, veillant à réfléchir au combat de demain. A six heures, le soleil ne pénétrait pas dans cette région aux confins des ténèbres. Pour seule lumière, les flammes de l’enfer !
Un garde vint me chercher, lorsque l’heure du duel fut arrivée. De sa poigne de fer et de ses bras d’acier, il me prit par le bras. Ces yeux injectés de sang reflétaient les flammes qui dansaient au-dessous du pont sur lequel je me tenais.
Je retins un cri d’épouvante quand j’aperçus des cadavres pendus au loin, (...)
"En effet petit humain... Je suis le tout puissant, ton peuple n’a plus d’espoir il tombe sous le poids de mon armée..."
Un rire tonitruant se fit entendre.
Mon cœur se mit à battre à vive allure et mon cerveau fut submergé par un torrent de questions : me testait-il, si oui, pourquoi ? Sinon, qui avait les perles et comment les avait-on prises ? Pour quelles raisons ? Mes pensée s’embrouillaient, je ne savais pas quoi répondre... il fallait que je gagne du temps pour éclaircir mes idées, je (...)
Tirer sur le pilier n’aurait pas été prudent du tout.
Tout d’abord car je me trouvais juste en dessous, puis, parce que les perles y étaient aussi ! Alors que mon cerveau fusait à toute allure malgré ma migraine, une voix de baryton s’éleva de nulle part...
Je me réveillai dans un endroit qui ne m’était pas inconnu. Un homme de petite taille, bien gras, me fixait avec des yeux de crapaud mort. J’esquissai un sourire en pensant qu’il ressemblait à ma tante. Le sourire disparut lorsque j’entendis sa (...)
Arrivé sur place, il faisait une chaleur insupportable et au loin j’aperçus un objet brillant ! Je m’approchai donc et je vis une besace en cuir noirci entourée d’un ruban doré. En essayant de la prendre, mes doigts se mirent à rougir et à brûler, je la lâchai instinctivement, mais je savais qu’elle contenait quelque chose d’indispensable pour ma quête. Quoique très chaud, le sol restait solide et je pouvais me faufiler partout jusqu’à ce que j’aperçoive un garde mi-homme mi-aigle qui manoeuvrait de la (...)
Il me fallait être très rapide car la chaleur suffocante m’interdisait de respirer. Je devais trouver un moyen plus rapide de voler vers la terre des midraserpions...Mais, bien sûr ! Voler, je devais voler, voler pour m’enfuir loin de cet enfer, voler vers les plaines des midraserpions, voler pour sentir les nuages penser mes plaies, voler pour me sentir libre !
Mon esprit, mon âme, mon corps étaient tellement désireux de s’envoler que miraculeusement Zîn apparut à travers le soleil qui se (...)
Il était mort, mort avec notre espoir, il était mort le sourire aux lèvres sachant que jamais je ne pourrais mener ma mission a bien.
Je m’écroulai désespéré, ma quête se finissait dans un cul de sac sur ce sourire sarcastique.
Undril me réveilla de ma mélancolie par une claque mentale qui fut si forte que je m’écroulai par terre plus surpris qu’énervé.
« Utilise la pierre lakis, me dit-elle.
_Quoi ?
_La pierre que tu as ramenée du futur... »
Aussitôt, je me rappelais de ce voyage, de ces souffrances (...)
Une pensée glaciale me traversa l’esprit : Où était mon frère ?. Je réfléchis à toute vitesse, puis je lançai :
« Venez me chercher ! Je ne ferai pas de quartier ! Mais, dites-moi, où est mon frère ?
_Ha !Ha !Ha ! Ton frère n’est plus ! C’est un esclave, et toi, tu vas mourir... »
Ils s’élancèrent et je brandis mon épée. Malgré ma très faible connaissance en escrime, je balançai mon épée de gauche à droite coupant les têtes et les bras. Derrière moi, il n’y avait que cadavres et sang. Je me fis un passage de (...)
En revenant dans mon époque, je ne reconnus rien. Tout était détruit, pillé, des cadavres jonchaient le sol et une forte odeur de boue régnait dans l’air.
Je me mis en marche en me posant de nombreuses questions :"Que s’était-il passé ? Pourquoi n’y avait-il plus personne ? ...
Au bout d’un certain temps, le sentiment que quelqu’un me suivait m’envahit. Tout à coup, il y eut un craquement sonore.
« Bonjour mon jeune ami, te souviens-tu de nous, les Saïs ? Il est vrai que nous ne parlons plus de la même (...)
Une paix m’envahit, comme une douce brise qui chassa peu à peu l’angoisse de mon cœur. Le contact se relâcha car à travers ces milliers de mètres cube d’eau, aucune emprise ne pouvait filtrer. J’étais libre ! Ce geste mettait fin à cette souffrance que résumait cette aventure dans le temps et les dix jours de quête. Mon cœur criait victoire mais j’étais tout de même triste car c’était une partie de moi qui chutait en même temps que l’épée dans ce gouffre sans fin. J’entendis le tintement clair qu’elle avait (...)
La nuit tombait tôt sur les hautes montagnes de l’est,il nous fallait reprendre des forces pour notre route vers la ville portuaire de Split.
Alors que chacun dormait dans un sommeil infini, je décidai de faire le point sur ma position. Cherchant un morceau de charbon assez fin pour écrire mes récapitulations, allongé sous la voûte étoilée, je pensais à ses nuits que je passais sur le balcon de ma chambre, observant les étoiles, et priant pour trouver l’aventure.
Même loin de chez moi,les étoiles (...)
Tout d’abord, il ne se passa rien, quand tout à coup, Excalibur brûla et vola jusqu’au météore. Celui-ci explosa et mon épée tomba juste à mes pieds. J’étais tellement impressionné par la puissance d’Excalibur que je me demandais si je pouvais encore la porter dans mes mains. Alors je la pris et constatai qu’elle était toute froide comme si elle n’avait pas brûlé.
Après avoir reçu les félicitations des habitants, nous reprîmes notre chemin vers un village du nom de Spit. Pour nous y rendre il fallait passer (...)
« Tu n’aurais pas du faire cela ! m’avertit l’épée. Maintenant, tu seras prisonnier pour toujours dans ce monde futuriste, tu as brisé la seule chance de sauver ton monde Ewil ! Mais je vois que tu ne tiens pas à tes parents. De toute façon, tu ne les reverras jamais ! ah ah ah ! »
Puis la voix se tut, je sentis que j’avais fait une erreur en la cassant. Tout à coup, une sorte de tourbillon m’emporta et je perdis connaissance.
Dès que je me réveillai, je remarquai Fox et Görgulâ qui se tenaient devant (...)
Le dragon traitait Sleepy comme son maître. Mais je pensais à tout autre chose. Quand pourrais-je enfin rentrer cher moi ? Tout le monde a un chez soi sauf moi depuis que j’étais arrivé dans ce monde je vivais en vagabond...
Mes pensées dérivaient inlassablement vers Excalibur qui me fascinait mais en même temps me dégoûtait car une partie de moi-même haïssait cette épée symbole de la quête qui me tenait loin de chez moi. Mais jamais je ne m’en serai séparée, je la gardais même pour dormir. Cette épée (...)
Pendant que ce dragon nous poursuivait à une vitesse spectaculaire, je repensais à Sleepy. Pauvre de lui car nous ne savions pas où il pouvait se trouver. Le temps était compté et avec ce lance flamme perpétuel tout devenait impossible.
Après une longue course, le dragon nous avait enfin lâché car la fatigue l’avait frappé. Nous cherchâmes un endroit où nous pourrions enfin dormir, ce qui fut possible une sorte d’arbre creusé par la vieillesse. Une bonne nuit ne serait pas de refus car le lendemain (...)
Qu’est-ce que j’avais fait pour mériter cela ? Pourquoi toutes les personnes qui étaient chères à mes yeux disparaissent-elles une à une ?
"Sleepy pourra te renseigner " me fit Undril dans ma tête. Les seuls volcans qui se situent à l’ouest se trouvent dans le désert près des ruines où j’avais trouvé Excalibur. Je repris donc ma route en compagnie de Fox et de Görgulâ. Après quelques rares arrêts, nous arrivâmes enfin dans le désert. Cet endroit s’étendait à perte de vue.
On ne pouvait rien deviner avec (...)
Je ne savais par où commencer les recherches pour retrouver Sleepy, Fox n’on plus d’ailleurs ne savait quoi faire. Soudain Excalibur se mit à vibrer et à briller ! Je n’avis aucune idée de ce que cela voulait dire mais j’entendis des bruits de pas qui se rapprochaient de plus en plus vite. J’ordonnai aussitôt à Fox et aux autres de se cacher tout comme moi. Puis, les bruits de pas s’arrêtèrent et je pus apercevoir le visage et la silhouette de l’individu en question. Il était grand, tout habillé de noir, (...)
Je fondis donc sur lui en un éclair mais il me repoussa en me donnant un grand coup derrière l’epaule. Je me relevai et sortis ma hache sufisamment rapidement pour parer son coup. Excalibur était tombée assez loin de moi, alors je lançai des attaques rageuses en faisant tourner ma hache devant moi tout en me dirigeant vers mon épée.
Lorsque que je fus en mesure de l’attraper, je projetai ma hache en direction de mon adversaire. Elle lui entailla l’épaule puis je fondis sur Excalibur. J’attaquai (...)
L’intérieur du sanctuaire me réservait bien d’autres mystères. Dans la salle principale,il y avait de grand meuble où étaient rangés des livres sur l’histoire de la magie. A côté une énorme cheminée faite entièrement de marbre,avec "Görgulâ seigneur des montagnes"gravé en lettres d’or. La lumière blanche et transparente était émise par un grand lustre de cristal fin et éclairait un escalier était fait d’un bois souple, résistant et poli. Une gigantesque pendule se dressait au fond de la salle, elle était faite (...)
Après des journées d’un dur périple, je l’avais trouvée, la porte d’Igûs celle qui menai au sanctuaire...! Je l’ouvris et découvris une salle où se trouvaient des tables en pierre et sur celles-ci des squelettes. En les regardant , je remarquai une nouvelle porte qui menait peut-être à une autre salle. Mais tout à coup, quelque chose tomba, je regardai aussitôt autour de moi mais ne vis rien. Alors je poursuivis mon chemin quand le fracas reprit. De plus en plus inquiet, je courus jusqu’à la porte quand (...)
Quand je pus enfin apercevoir les structures de ce nouveau monde, je constatai que je me trouvais près d’une ancienne ruine. Alors que je voulais l’examiner de plus près, une voix raisonna dans ma tête :
« Héros de la légende, suis le son de ma voix !
J’hésitai un moment mais je pénétrai out de même dans les ruines d’où provenait cette voix.
Le son de la voix me conduit dans une énorme pièce circulaire. Une lumière aveuglante provenait de son centre.
Je m’en approchai et quand je fus assez près (...)
Les nuages, impalpables, passèrent à travers mon esprit. Soudain, la sérénité m’envahis : accepte ton sort, la vie... Malgré tous les moments sombres vécus. Ce monde m’a donné de l’amour, de l’aventure, et du bonheur.
Tout à coup, une présence pénétra mon esprit. Elle était de retour, Undril !
« Oui, en acceptant ta destinée, tu m’as retrouvé."
Et je m’endormis dans un grand bonheur.
Une douce voix me tira des nuages, me signalant que nous étions arrivés à destination. Nous atterrîmes sur le sable brûlant, une (...)
« Tu peux aller dans le futur grâce à l’un des miens. Moi, je ne pourrais t’y reconduire que dans mille ans car un midraserpion ne peut emmener un humain dans le futur que tous les mille ans et seulement pour vingt-quatre heures. Je vais te conduire sur la terre des midraserpions, au sud, là-bas, en utilisant toutes nos ressources tu pourras aller dans le futur pour deux semaines. En effet, nous ne sommes plus que quatorze survivants de notre espèce, à cause de cette maudite pierre, me dit-il. (...)
Quel futur délirant que celui des renards qui dirigeaient ce monde et les Saïs qui étaient toujours là ! Il fallait que je dorme s’en était trop ! Une présence tournait autour de moi mais me rassurais, bizarrement au fin fond de cette cellule. Je me couchais toujours hanté par cette présence qui, soudain, entonna un chant, une complainte irrésistible chantée dans une langue trop complexe pour être le fait des hommes. Le lit était chaud mais il fallait que je me lève,que je m’enfuis avec "Elle" loin de (...)
« Que se passe t-il ?
_Les Saïs, nous ont retrouvés.
_Comment va-t-on faire, s’il nous ont retrouvés c’est que la citée d’Illis est détruite.
_Comment va-t-on savoir s’ils ont la montre ?
_En prenant leurs armures,dit Falco. »
Alors nous nous cachâmes dans une tour. Trois Saïs arrivaient, alors Fox sortit son couteau, et les égorgea un par un dès qu’ils furent près de la porte. Nous nous emparâmes de leurs armures et nous défiâmes alors les autres Saïs.
Ce fut difficile de parler comme eux mais Nous (...)
Peu de temps après ma chute, je sombrai dans le coma. Quand je me réveillai, je trouvai à mes côtés un étrange personnage.
« N’aies pas peur, je ne te veux aucun mal ! me dit l’étranger.
_Qui es-tu et où suis-je ?
_Je me nomme Fox Mac Cloud, tu es dans la pleine de soleil.
_Quel jour est-on ?
_Nous sommes le 17 décembre 3785 »
Je me demandais comment j’avais pu passer autant de temps dans le coma. J’observais les lieux, à première vue Fox Mac Cloud était un renard mais pas n’importe lequel, il avait (...)
Pauvre vieux mourir ainsi il ne le méritait pas. Je pensai à ma vie d’avant et je me dis que de toute façon mes parent ne me reconnaîtraient pas car j’avais changé à force de combats. Je m’étais musclé et mon visage s’était endurci. Je rêvassais ou plutôt je cauchemardais, toujours le même rêve lancinant, toujours le même... sans changement, dont je sortais en sueur. Je retournais dans mon monde et voyais mes frères devenus des hommes âgés. Ce cauchemar même curieux me hantait. Tout était possible ! Après (...)
Nous y trouvâmes un immense sarcophage, au milieu duquel il y avait une pierre précieuse incrustée. Mes "amis" prononcèrent quelques paroles totalement incohérenteS. Soudain, un immense bruit se fit entendre. Je me précipitai vers la fenêtre et vis le roi en personne avec une immense armée !
« Appelle le midraserpions !!!me dit Undril.
_Et comment suis-je censé m’y prendre ?
_Tu as pris possession de son esprit. »
Tout à coup, je repris la pierre acquise récemment et je pensai très fort :
« Reviens (...)
Nous sortîmes de la prison avec peine. Je suivis les parois de la prison avec mon frère pour revenir au 8ème étage. Arrivés, nous continuâmes notre recherche des perles mais sans succès alors nous nous redîmes au 9ème...
A cet étage, il y avait des gens qui parlaient une langue curieuse, mais c’était une langue de mon monde, une langue que j’avais l’habitude d’entendre... Une personne nous aborda : "schnell, schnell !!" puis elle repartit. J’avais compris ce qu’il avait voulu me dire en (...)
Cette pièce me faisait froid dans le dos, comment allais-je trouver le passage pour le deuxième étage ? Je regardais partout mais il n’y avait rien, sauf une statue de Victor. Je pouvais enfin savoir à quoi il ressemblait.
Je lisais ce qui avait été écrit en dessous sur une plaque d’orée :« Le Grand, le Puissant, le Maléfique Victor ». Je n’avais vraiment pas envie de le rencontrer. Que devais-je faire dans une situation pareille ? Je devais retrouver mon frère, mais également la pierre.
Mon seul (...)
Je traversai les catacombes sans encombres, et j’atteignis l’escalier mais avant de le monter je ramassai un bâton qui traînait sur le sol de pierre. Je montai enfin les marches de l’escalier en marchant prudemment, au moment où j’atteignis la dernière marche j’entendis un hurlement de douleur. Je me mit à courir vers l’endroit d’où provenais le hurlement, sans faire attention au garde qui était dans le large couloir qui suivait l’escalier. Ce dernier me remarqua et donna l’alerte. Je l’assommai avec mon (...)
« Ewil, ils vont les massacrer une fois qu’ils leur auront donné le renseignement qu’ils recherchent ! s’énerva Undril.
_Où les ont-ils emmenés, Undril ?
_Au château de Victör, je t’en prie Ewil, sois prudent. »
Je séchai mes larmes et soudainement Zhïn vint s’accrocher à mes épaules et me tira vers le ciel.
Je lui demandai s’il pouvait me porter jusqu’au château et il me répondit d’un sifflement. Je ne pouvais pas rester là sans rien faire alors qu’on était sûrement en train de torturer mon frère. Par (...)
Il me laissa là, noyé dans mes pensées et avec mille questions. Au bout d’une demi heure je demandai à Undril :
"Toi qui es avec moi depuis le début, le savais-tu ?
_...
_Réponds-moi, j’ai besoin de savoir.
_Oui
_...
_Tu as su ce que tu ne devais savoir, te voilà condamné à chercher ton passé.
_..."
Je m’endormis avec beaucoup de mal. Le lendemain matin, Zhïn était à coté de moi, il avait un message. Je fus glacé d’horreur, il était de Saphira, et il y avait du sang dessus. Je lus ce que je pouvais (...)
La ville était particulièrement sale, des détritus traînaient un peut partout. Le soleil se couchait, mais à cause des hautes murailles protectrices de la cité, je ne pouvais profiter de l’éclat du soleil et de sa teinte couleur sang.
Nous nous faufilions à travers d’étroites ruelles sombres, sans mots dire. Lorsque que le vieillard s’arrêta devant une porte de bois, le soulagement de la fin de ce long trajet ne put curieusement pas m’enchanter. L’appréhension prenait le dessus sur mes sentiments.
« (...)
Il fallait marcher. On ne me disait que cela. Mais où m’emmenait-on ? Dire que je connaissais à peine cette personne et elle me donnait des ordres. Pour qui se prenait-elle ? Je n’avais pas traversé la barrière entre nos mondes, échapper aux Saïs uniquement pour me faire commander par ce Elwïnd.
Pendant plusieurs jours je conservais cette attitude morose mais Il fallut me rendre a l’évidence je devais rester avec lui.
« Je te propose d’aller à Kimpel, c’est une ville fortifiée à l’est. Les habitants (...)
Et voilà, la deuxième perle était en ma possession, et le quatrième jour touchait à sa fin. Qu’allait-il donc se passer le lendemain ? Perdu dans mes réflexions, je n’avais pas remarqué qu’une ombre m’épiait par delà les buissons...A ce moment, je vis ma vie défiler devant mes yeux. En pensant à mes parents, je sentis des larmes me couler le long des joues. Je vis le monde basculer et ce n’était pas qu’une impression. J’avais trébuché sur une souche.
« Ewil ! Tu dois te reposer, je vois que l’épuisement (...)
Je montai sur mon cher Zïn et me dirigeai vers la forêt. Au bout d’une demi-heure nous arrivâmes au pied de celle-ci.
"Le soleil se couche et il vaudrait mieux faire de même. Nous reprendrons les recherches demain, me conseilla Undril."
Je me réveillai le lendemain matin, me levai et demandai :
"Si le roi y tient tellement, à ce sheïn writen mïnân, il doit bien le protéger, ce qui nous créera des difficultés, n’ai-je pas raison ?
_Oui, me répondit Undril. "
Je dégainai mon épée et m’engouffrai alors (...)
Il régnait une atmosphère hostile, le mal était presque palpable.
« Dépêche-toi de trouver le sheïn writen mïnân, il nous reste peu de temps, nous sommes au troisième jour, cherche sans relâche, il nous faut à tout prix cette...cette chose !
Undril avait raison, si seulement je savais à quoi cet objet ressemblait ! Sur cette pensée, je repris ma marche dans ce tunnel sombre où courait sur les murs une ombre d’angoisse.
À l’embranchement d’un tunnel, il me fut difficile de retrouver ma route, mais après (...)
J’étais sur Zhin, il faisait de plus en plus froid, le brouillard m’aveuglait, j’avais prévenu Zhin que j’allais dormir.
Quelques heures plus tard, deux Sais étaient à nos trousses ! Zhin accélérait de plus en plus mais les Sais nous rattrapaient. Alors je lui demandai de descendre en piquer. C’était notre seule chance de survivre.
Lors de cette manœuvre, les Sais n’arrivèrent pas à tenir sur leur sti (oiseau géant venant du nord et tombèrent dans le vide.
Nous étions enfin arrivés aux portes. Il y (...)
Soudain, j’entendis un grand bruit, je vis que les ennemis avaient trouvé un passage secret. Ils entrèrent à l’intérieur. Puis plus rien, calme plat.
Lentement je sortis sans faire de bruit par la petite porte de bois.
J’atterris dans un hall d’entrée, fait également de bois, le plafond, habilement ciselé à même l’écorce, représentait des gravures celtiques qui me rappelaient les inscriptions sur la pierre trouvée au fond du lac.
Je cherchai un recoin où me cacher, pour ne pas être repéré. Je trouvai (...)
Undril ? C’était bien elle qui venait de prononcer ces mots dans ma tête ! J’en étais sûr. La confiance était revenue, un poids énorme s’envola de mes épaules ! J’avais repris confiance en moi et en ce monde, le blocage avait cessé !
_Oui Ewil, en découvrant un indice important pour ta quête, tes doutes se sont dissipés, et la connexion est rétablie entre nous. Mais sache que pendant tout ce temps je suis restée en relation avec toi, il nous était impossible de communiquer mais je savais tout ce qui se (...)
J’atterris à proximité d’une immense ville. J’y entrai sans trop de difficulté, pénétrai dans un énorme bâtiment pour trouver un gîte pour dormir. J’y trouvai une bibliothèque renfermant des milliers de livres, je passai devant l’une des centaines d’armoires et lus le nom des volumes au fur et à mesure : "contes, histoire à dormir debout, l’histoire réelle du château de Baân...
Je m’empressai de prendre ce dernier ouvrage et commençai à le lire.
Je tournais fébrilement les pages, jusqu’au moment où je trouvai (...)
"Ewil, tu devras te rendre à la cité d’Illis, tu demanderas aux soldats à voir un mage et ils te diront où il se trouve" me dit elle.
Alors, après quelques heures de repos, je partis sur le dos de Zhin.
J’étais en vol depuis des heures quand j’aperçus la cité d’Illis. Nous étions enfin arrivés, Zhin et moi.
A quelques mètres de nous, un homme m’a demandé si j’étais Ewil et je lui répondis qu’en effet c’était moi.
Soudain, je compris que c’était lui le fameux mage que je recherchais.
Pendant des heures et (...)
La pression de l’air m’opprimait les poumons, je pouvais à peine respirer. Cette sensation de liberté ne dura qu’un court instant lorsque nous nous posâmes à l’orée d’une clairière sombre où je lus la lettre. L’écriture fine de Saphira trahissait la précipitation :
L’heure est grave Ewil, les Saïs ont attaqué la citadelle de Caldin, malgré nos défenses renforcées la forteresse est entre leurs mains. Je t’envoie Zhïn, cet oiseau est un Sïnph, on raconte qu’il a d’étranges pouvoirs.
Il t’accompagnera le long (...)
Je m’engageai dans un passage obscur de la montagne. Je marchais pendant des heures, des jours peut-être, je n’avais plus aucune idée du temps. Soudain, j’entendis des bruits, je sortis aussitôt mon épée, les bruits venaient de derrière moi... des hommes armés... ou plutôt... les Saïs, ils approchaient ! M’avaient-ils retrouvé ? Je fonçai droit devant, je courus à en perdre haleine.
Mes poursuivants étant lourdement armés étaient loin derrière et j’étais essoufflé. Je m’accordai alors une pause, soufflai (...)
En continuant mon chemin, à quelques kilomètres de moi ,je voyais une montagne qui dépassait haut dans le ciel. Je tombais soudain nez à nez avec une pancarte :
"tous ceux qui rentrent, ne sortent jamais"
Cette phrase me donna un grand frisson dans le corps. Tout ce que m’avait dit Saphira était donc vrai, mon destin était enfin arrivé, cette montagne allait nous sauver, alors je repris ma marche, mon chemin, mon destin...
J’étais enfin arrivé face à la porte de la montagne, cette porte était (...)
L’ambiance tout autour de moi était lourde. Une aura pesante s’élevait dans l’air comme si le temps avait stoppé sa marche sans fin... Tout autour de moi était étrange. Qui m’avait amené jusqu’ici ? Pourquoi en buvant cet étrange nectar au goût divin me suis-je comme endormi dans un sommeil sans rêve ? Pourquoi Elundril ne me répondait-elle pas lorsque je l’appelais ? Toutes ces questions sans réponse m’angoissaient au plus haut point !
Jusqu’ici je suivais ma route tranquillement sans me poser trop de (...)
Derrière l’apparence macabre des murailles se cachait un joli petit village. Les villageois paraissaient accueillants...
Je continuai à m’enfoncer dans le village et me retrouvai devant une auberge. J’ouvris la porte et m’asseyai au bar : je commandai une bière et tout le monde me regarda avec de gros yeux comme si j’étais un monstre... Le serveur me murmura :
« De la bière ? C’est quoi de la bière ? »
J’étais stupéfait ! Je demandai autre chose, le bus et m’évanouis...
Je me réveillai sur mon lit avec (...)
...mais je devais le découvrir.
« Je connais cette langue, c’est celle utilisée par les elfes noir. Elle a la particularité de se transformer en une matière et peut se retransformer en un son quand la personne a qui elle est destinée est à coté et seule. Or là, elle ne s’est pas retransformée, cela veut dire que nous ne somme pas seuls,fit remarquer Undril
_Eh bien, dis donc ! Tu en connais un sacré rayon ! Et tu peux me dire ce que cela veut dire ?!, m’exclamai-je.
_Non, avoua-t-il, mais si jamais (...)
Alors que je longeais l’immense lac, perdu dans mes pensées, une forme scintillante apparut à la surface de l’eau. Les derniers rayons du soleil luisaient sur la paroi de satin et faisaient apparaître une sorte de bloc sous le lac.
Que devais-je faire ? Prendre le risque de me tremper pour rien et même de me noyer ou plonger afin de voir ce qui attirait tant mon attention ?
« Vas, ce lac mystérieux te fourniras une nouvelle opportunité, saisis-la ! »
Alors j’ai commencé par ôter mes vêtements (...)
Croire ou ne pas croire ? Là était la question, beaucoup de questions d’ailleurs restaient dans ma tête, je réfléchissais...
Soudain, je me rendis conte que quelque chose ne collait pas ! Le vieil homme avait dit qu’il avait cherché pendant 73 ans, mais il n’avait pu commencer à chercher le château dès sa naissance, et il n’était pas si vieux que ça en y repensant. Je cherchais le moindre détail qui pouvait être révélateur chez cet homme. Mais il n’y avait rien d’autre, c’était sans doute un conteur qui (...)
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Je commençais à fuir mais un homme vêtu de noir me bloqua la route en donnant des ordres aux autres soldats dans une langue étrange que je ne comprenais pas. Puis ceux ci se volatilisèrent. Je demandai à l’homme qui il était et pourquoi il m’avait attaqué. Il me répondit quelque chose que je ne pus comprendre : "neus seumme leus saïs neus aveus pour eurdre deu proteuge la (...)
J’ai ramassé tous ses outils et les ai mis un à un dans un sac en peau qui traînait à côté. L’épée était légère et avec un pommeau incrusté de diamants. Souple et tranchante, je ne savais pas à quoi elle me servirait mais une petite voix intérieur me conseillait de la prendre.
Quelques minutes plus tard, je fis un petit détour par l’auberge pour revoir ce soi-disant roi, mais il n’y avait plus âme qui vive. Juste après m’avoir narré son bref récit, il s’est volatilisé sans que j’aie pu lui poser la moindre (...)
« Je suis un ancien roi dont le château perdu est situé à l’intérieur d’un volcan, et à l’intérieur de celui-ci même, il y a une armée qui pourra vaincre les Saïs.
Le seul problème, c’est que mon père est le fondateur du château, et que pour ma part, j’ignore ou il se trouve exactement. Les Saïs essayeront de t’empêcher de l’atteindre...
Va dans la chambre 7, tu y trouveras tout le matériel pour t’y rendre, sache que j’ai passé 73 années de ma triste vie à le rechercher, sans aucun Saïs pour me bloquer... »
Je (...)
Ce manuscrit était soigneusement rangé à l’intérieur d’une vitrine peu commune. La taverne était très peu remplie mais d’une propreté impeccable. Un viel homme était assis seul à une table, pas très grand il avait le dos voûté mais malgré son âge sa fine taille et ses muscles trahissaient une vie longue,dure et pleine de combats. Il buvait un breuvage dans une chope en terre cuite. L’aubergiste un homme assez gros de large épaule avec un cou de taureau et une moustache broussailleuse m’adressa la parole. (...)
Après plusieurs heures de marche, je m’aperçus qu’il faisait noir , il n’y avait aucun bruit.
Je mettais arrêté sous un arbre, aussi grand qu’un immeuble de cinq étages. Je savais que je ne pouvais tenir longtemps, le froid me paralysait les jambes, il fallait donc que je marche.
Après quelques heures supplémentaires de marche, je me retrouvai en face d’une auberge ancienne, qui, selon moi datait du
Moyen Age.
J’avais tellement faim que j’eus l’idée de pénétrer en dépit de toute prudence dans ce (...)
La ville semblait déserte, un froid anormal me glaçait les veines, un sentiment de lâcheté envahissait mon esprit. Qu’étaient devenus Saphira, Jack, et tous les autres ? Quels dangers avaient-ils dû affronter à cause de moi ?
« NE T’EN FAIS PAS, ILS SAVENT SE TIRER DES SITUATIONS GRAVES !, m’assura Undril de sa voix réconfortante. »
J’avais encore du mal à me faire à l’idée que j’étais dans un monde parallèle au mien. Que devenait ma famille ? Ils devaient tous se faire un sang d’encre !
Toutes ces (...)
Soudain un grand bruit se fit entendre, des bruits de fer résonnant tout à coup. Le campement était attaqué, à cause de moi. Saphira me conduisit vers une trappe et me dit :
« Fuis, ce passage te mènera dans la forêt.
_Et toi ?
_Ne t’inquiète pas pour moi, je ne suis pas humaine, après... tout dépend de leur nombre. N’oublie pas que nos destins sont entre tes mains, et maintenant pars. »
Je partis en courant et entendis la porte de la trappe se refermer.
Le tunnel me mena droit dans la forêt, je (...)
Saphira me fit entrer dans une tente où elle me recommanda de m’asseoir. Je pris le coussin le plus proche et écoutai son récit, attentif.
" Je te dois certaines explications. Tout d’abord avant de t’en dire trop, je dois m’assurer que tu es bien l’élu. »
Je lui fis savoir que j’étais d’accord d’un léger hochement de tête.
« Parfait, tout d’abord l’élu est un être qui d’après la prophétie, vaincra les Saïs et rétablira la prospérité dans notre monde. Cela fait des siècles que nous combattons et ta venue (...)
Aux abords du campement !!!
Le groupe qui m’avait demandé de les suivre me présenta à leur chef, un certain Jack. Il portait un énorme imperméable noir, d’énormes bottes noires, un haut-de-forme. Il avait les cheveux longs et gras, de grands doigts, une énorme cicatrice sur la joue droite ce qui me fit un peu peur. Il était penché sur une table et regardait une carte de ce qui semblait être une forêt.
Il dit quelque chose à Saphira que je n’entendis pas, puis il se tourna vers moi et me demanda d’une (...)
Il faisait nuit et j’étais terrifié à l’idée de suivre des inconnus, si s’était un piége ? S’ils étaient, eux, les meurtriers qui voulaient me tuer ?
Je décidai alors de rester sur mes gardes et m’engageai dans un groupe. Je les suivis et nous entrâmes au bout d’un quart d’heure dans une forêt.
En son centre, il y avait un campement...
Des âmes perdues dans cette chambre d’hôtel, se torturant de leurs propres mains ! Cette scène terrifiante évoquait trop de choses en moi ! Mon cœur menaçait à chaque instant de sortir de ma poitrine.
Affolé, je courus vers la porte qui se situait à l’autre bout de ce tombeau. Sautant par dessus une table renversée, évitant de quelques centimètres un fantôme perdu...
La grande porte massive s’élevait maintenant devant moi. En posant ma petite main chétive sur la poignée tout s’écroula autour de moi, le (...)
Ouvrant une porte immense, tout bascula et je me retrouvai dans la chambre d’hôtel d’une grande ville.
En me retournant, je vis sur la porte le plan de l’étage où je me trouvais avec l’inscription "chambre maudite".
Une demi-heure plus tard, je commençai à faire le tour de cette pièce où j’avais atterri.
D’un seul coup, je vis des personnes floues, comme des fantômes, qui se jetèrent par la fenêtre de la chambre à coucher, d’autres se pendirent avec les rideaux et certains se tranchèrent la (...)
Je me retrouvai dans le noir éprouvant une douleur atroce à la jambe. Je ne savais pas si les fantômes connaissaient cet endroit mais j’étais sûr qu’il fallait que je sorte d’ici. Je cherchai dans ma poche et y sentis un trombone, une lampe de poche et un canif qui faisait aussi tire bouchon.
J’allumai la lampe et vis un immense escalier qui descendait dans les entrailles de la terre et dont je ne voyais pas le fond.
La curiosité me tentait mais j’hésitais, elle m’avait déjà coûté cher. Je finis (...)
Je m’arrêtai devant la propriété et je la regardai d’un air étrange. On aurait dit que cela ressemblait à un manoir. je me demandais comment une aussi grosse demeure était apparue ici. Je ne me souvenais pas l’avoir vue les autres jours, alors ma curiosité me poussa à y entrer. La porte était bloquée par des planches de bois mais je parvins à les retirer. J’entrouvris la porte et je m’aperçus que ce manoir n’était plus habité depuis longtemps.
La nuit venait de tomber alors je décidai de rester ici pour la (...)