Un avant-goût du programme de 5ème à partir de l’année prochaine traité par les élèves.
Les inégalités hommes-femmes
Depuis toujours, il existe des inégalités de sexes.
I à l’école :
En effet, elles sont présentes dés le plus jeune age : par exemple, au Zimbabwe, 87% des femmes n’ont pas été à l’école. Les jeunes filles peuvent être considérées comme « un fardeau économique ». Ainsi, les parents préfèrent qu’elles travaillent et donc rapportent de l’argent plutôt qu’elles étudient. Pourtant, en France, l’école devient mixte dés 1975 (Loi de Réné Habby) mais quelques établissements (privés) restent (...)
L’inégalité est-elle aussi présente à l’école ?
Dans la plupart des pays pauvres les garçons sont privilégiés et vont à l’école mais les filles doivent rester à la maison pour faire les tâches ménagères ou la corvée d’eau.
Mais la plupart des enfants en Afrique peuvent faire la nounou ponctuellement.
Et le plus souvent les enfants à l’étranger travaillent à l’age de 7 ans, et ne peuvent donc pas aller à l’école.
Certains sont obligés d’aller travailler pour rapporter un peu d’argent, la plupart du temps ce (...)
La malnutrition c’est une alimentation mal équilibrée ou mal adaptée à un individu ou à une population. Alors que la sous-nutrition c’est que l’on ne mange pas assez .
Chaque année, 800 millions de personnes souffrent du manque de nourriture, malgré la surproduction mondiale. La malnutrition freine le développement physique et mental des enfants.
Les causes de la famine à grande échelle sont les invasions d’insectes, les guerres, les maladies des végétaux, la sécheresse ou de mauvaises récoltes.
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Malgré des droits obtenus par les femmes au cours de l’histoire, de nombreuses inégalités demeurent entre les deux sexes.
1-Les filles et garçons à l’école
Aujourd’hui, filles et garçons vont tous à l’école et peuvent suivre les mêmes études. Pourtant ,on ne retrouve pas partout les filles et les garçons en nombre égal. Ainsi en classe de première au lycée, le nombre de filles varie selon les filières : elles sont 83% en section littéraire, 66%en économie et 45% dans les sections scientifiques. Après le (...)