Après avoir pris place à notre table avec Enzo, nous parlâmes des événements qui s’étaient déroulés dans la journée :"Tu ne trouve pas ça étrange que cet homme qui ne nous connaît même pas essaie de nous protéger ?
_Mais non ne t’inquiète pas et puis s’il nous voulait du mal, il aurait certainement déjà agi ! Tu ne penses pas ?
_Tu as sans doute raison mais avec tout ce qui se passe je commence à voir le mal partout. Mais en faite ce mystérieux ADN, de qui peut-il bien provenir ?
_Ça je n’en ai pas la moindre idée mais on finira bien par trouver de qui il s’agit.
_Tu vois Enzo, j’ai l’impression que plus l’on découvre de choses sur les problèmes qui nous entourent et plus cette histoire devient compliquée.
_Mais non, ne dis pas cela, tu verras ensemble on finira par résoudre ce mystère, je te le promets, on y arrivera.
_Merci de me remonter le moral je ne sais pas ce que je ferais sans toi. Tu as raison, demain nous irons voir ensemble ce qu’il y a à cette fameuse adresse. Mais rentrons si tu veux bien je commence à être fatiguée avec tous ces évènements."
Nous quittâmes le restaurant et rentrâmes chez nous. Le lendemain, quand je me réveillai je me mis à chercher le petit bout de papier contenant l’adresse que j’avais trouvée auparavant chez Enzo. Affolés par tout le bruit que je faisais, le policier et Enzo accoururent dans ma chambre. Enzo m’interrogea :"Que fais-tu ?
_Je cherche le papier,... tu sais... celui qu’on a trouvé dans ta maison ?
_Quel papier ?
_Mais tu sais bien... celui où il y avait une adresse inconnue, celui qu’on a trouvé dans le coffre dont tu ignorais l’existence
_Ha ! Si ce n’est que ça c’est moi qui l’ai ! Maintenant que tu es réveillée va prendre un petit déjeuner avant que nous partions là-bas.
_Bon d’accord, mais tu aurais pu me prévenir plus tôt que c’était toi qui avais l’adresse... »
Notre enquête reprit de plus belle. Sur le papier, il avait écrit : 75 rue marterigue 65894 Moulinvale. Une fois arrivés sur place, nous nous retrouvâmes face à une immense maison. Nous décidâmes de frapper à la porte. Là une grande dame nous ouvrit...