Je partis un peu avant mon rendez-vous. Il fallait que je passe devant la maison d’Enzo pour pouvoir aller à ce fameux rendez-vous. Je ne savais pas si je devais frapper ou pas à sa porte. Peut être que les cartes étaient fausses mais j’étais très superstitieuse !!
Je me lançai, je ne pouvais plus reculer, trop tard. D’un coup je voulus courir pour m’enfuir mais impossible. Il ouvrit la porte et il fut surpris de me revoir. Et puis mes visions recommencèrent. J’en avais marre de...de ces visions...
Je rentrai chez lui, il m’expliqua ce que voulaient dire les cartes qu’il avait tirées la fois précédente ! Il n’y avait vraiment que la carte de la mort qui me faisait peur. Il me disait qu’il fallait que je fasse attention, dans la rue,... partout ! Mais les cartes ne valaient qu’un certain temps ! Donc j’espérais que rien ne m’arriverait.
Je partis de chez lui toujours avec mes visions devant moi. Une fois arrivée à mon rendez, le patron m’annonça que je pouvais travailler dans cette librairie.
« Enfin je vais pouvoir travailler, ne plus penser à tout ce qui m’arrive !!!, criai-je. »
Je rentrai chez moi, annonçai la bonne nouvelle au policier et allai à la boîte aux lettres. Je vis une grande enveloppe marron. Aucun nom derrière, je l’ouvris et qu’elle surprise ! Un bout de carte déchirée. Un mot, un mot derrière avec des lettres d’un journal qu’on avait coupées. Il y avait écrit :
« Voilà un morceau de carte avec lequel il faut résoudre des énigmes au fur et à mesure. A chaque étape vous gagnerez un autre morceau de la carte...
Vous avez un jour, un seul, pour chaque énigme... »
Je n’en parlai pas au policier, il m’aurait encore posé beaucoup de questions...