Une magnifique mélodie s’éleva alors de la harpe, plongeant tous ceux qui écoutaient dans une délicieuse torpeur, une magnifique sensation de bien-être qui envahissait les corps et aurait adouci le cœur de la plus mauvaise créature qui soit.
Un long moment s’écoula, une heure ou une année, personne ne pouvait le savoir, même le temps s’était figé pour écouter cette divine mélodie. La seule chose encore agitée de spasmes était l’homme-lézard, qui se tordait sur le sol et qui gémissait, en proie à de terribles souffrances. Il finit par un hurlement et se transforma en lumière.
Eïwel arrêta son morceau de harpe. Tous ses compagnons étaient émus…