Collège Jean Moulin

Cette pièce me faisait froid dans le dos, comment allais-je trouver le passage pour le deuxième étage ? Je regardais partout mais il n’y avait rien, sauf une statue de Victor. Je pouvais enfin savoir à quoi il ressemblait.
Je lisais ce qui avait été écrit en dessous sur une plaque d’orée :« Le Grand, le Puissant, le Maléfique Victor ». Je n’avais vraiment pas envie de le rencontrer. Que devais-je faire dans une situation pareille ? Je devais retrouver mon frère, mais également la pierre.

Mon seul indice était la statue, j’inspectais la statue de plus près et je venais de remarquer qu’elle avait été déplacée. Alors Je la poussai de toutes mes forces et elle se mit à bouger de plus en plus. Peu à peu je la dégageai entièrement.

Tout à coup, tout devint sombre autour de moi, puis je me retrouvai dans une salle où il y avait une des 6 pierres, ce qui voulait dire que j’étais au 8ème étage !
Je m’approchai de la pierre et la pris. Soudain une sorte d’onde explosa, il y avait un sortilège d’alerte !!!
Je m’enfuis par l’une des portes pour atteindre une nouvelle fois un couloir. Une immense course-poursuite s’engagea dans tout le château, mais au bout d’un quart d’heure je me retrouvai dans un cul-de-sac.
Tout à coup, le sol s’effondra sous mes pieds et je me retrouvai dans une pièce inconnue. Mon cœur se mit à battre à 100 à l’heure...

J’avais finalement trouvé la prison ! Elle était gigantesque, il y avait peut-être des centaines de cellules mais je devais à tout pris retrouver mon petit frère alors je les inspectai toutes, mais il n’y avait la plupart du temps que des cadavres qui pourrissaient depuis de nombreuses années... Tout à coup je vis mon petit frère. La chance était encore avec moi. Il y avait bien une porte en bois mais si poussiéreuse que je n’arrêtais pas de tousser et surtout la fis voler en éclats d’un coup d’épaule. Je dégainai mon épée, brisai les chaînes qui le retenaient prisonnier et nous nous précipitâmes alors vers l’une des 3 portes de la salle. Nous arrivâmes dans un couloir, il n’y avait qu’une seule porte et je la franchis. Devant moi, se trouvait le midraserpions, il mesurait cinq mètres de haut pour huit mètres de large. Il avait quatre paires de pattes semblables à une araignée, un corps avec une queue identiques à celle d’un scorpion, une tête ressemblant étrangement à celle d’un serpent et des ailes doté de carapace.
Je pris la pierre d’Ikïs ainsi que son esprit et brisai les chaînes du midraserpions,...