Je m’arrêtai devant la propriété et je la regardai d’un air étrange. On aurait dit que cela ressemblait à un manoir. je me demandais comment une aussi grosse demeure était apparue ici. Je ne me souvenais pas l’avoir vue les autres jours, alors ma curiosité me poussa à y entrer. La porte était bloquée par des planches de bois mais je parvins à les retirer. J’entrouvris la porte et je m’aperçus que ce manoir n’était plus habité depuis longtemps.
La nuit venait de tomber alors je décidai de rester ici pour la nuit. Je visitais les pièces du rez-de chaussée et je crus apercevoir une silhouette dans la salle à manger mais quand je m’approchai, je me rendis compte que ce n’était qu’un porte-manteaux. Au même moment, la porte de dehors se referma à clé toute seule et j’entendis résonner dans la maison une voix qui disait :
"Tu n’aurais jamais dû entrer dans ce manoir !!! Tu es piégé !! Ah Ah Ah !!"
Au début, je croyais que c’était une plaisanterie mais en essayant d’ouvrir la porte, je me rendis compte que la voix avait raison, j’étais bel et bien pris au piège. J’aurais dû me douter que ce manoir était hanté ! J’essayais tout de même d’ouvrir une fenêtre mais elles étaient toutes clouées.
Trois heures plus tard, j’entendis des voix qui s’approchaient, alors je courus pour me cacher dans une armoire à balai. Une fois à l’intérieur, j’attendis que les personnes pénètrent dans la salle à manger . Mais au lieu de ça , des objets arrivèrent en volant dans la salle ! On aurait dt qu’il y avait des fantômes et j’entendis une voix au dessus des objets parler :
"Où se cache-t-il ?"dit elle.
_Je n’en sais rien, il a dû avoir peur, mais pourtant, il ne peut pas nous voir pas vrai,dit une autre voix.
_Tu as raison mais je sais où il se cache et je vais lui tendre un piège !! Tu vas voir !"
Puis les voix disparurent et les objets se fracassèrent sur le sol. Quand je crus qu’ils étaient partis, alors que je m’apprêtais à sortir de l’armoire, un grondement raisonna et le sol qui se trouvait en dessous de mes pieds s’effondra et je tombai dans un précipice ...